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C’est le cœur émotionnel de l’épisode : Eve est broyée par la culpabilité et par l’absence d’Eliott. La scène d’ouverture sur la plage, puis son effondrement face à Manu, montrent une femme qui n’a plus de repères, prête à s’accrocher à ce qu’il lui reste : Tomas son petit fils. Le passage chez Claudine est clé : dès qu’on prononce les mots médiation familiale, juge, garde, on comprend qu’on bascule dans un nouveau registre. On n’est plus seulement dans la douleur intime, mais dans un conflit de droits : celui de la grand-mère vs celui de la mère. Ce qui fonctionne très bien, c’est le contraste entre Manu qui prône le temps, l’apaisement, la patience… et Eve qui n’en est plus là, qui veut “agir” pour ne plus subir.
Si Eve savait ce que Muriel cache… elle lui retirerait la garde de Tomas illico.

Charles médiateur entre Eve et Muriel, c’est la fausse bonne idée. Elle ne veut rien entendre, elle ne veut plus qu’Eve voit Tomas. Elle est persuadée qu’Eliott lui avait dit qu’il allait fuir Montpellier. Charles vit l’enfer : il partage un secret meurtrier avec Muriel et tente de faire bonne figure auprès d’Eve. Charles le gentil pote en deuil d’avoir perdu son meilleur ami, mais NON il est l’assassin. Ça sera un tsunami quand Eve découvrira la vérité.

Les moments intenses de l’épisode c’est La scène d’ouverture avec Eve seule sur la plage est déchirante – on sent tout le poids de sa culpabilité et de son chagrin. Emma Colberti livre une performance bouleversante, chaque larme semble authentique. Ce qu’on attend avec impatience : Le contenu de la lettre d’Eliott va-t-il tout changer ? Charles va-t-il enfin craquer sous la pression ? Muriel finira-t-elle par céder pour Tomas ?