Plus belle la vie en avance : résumé de l’épisode 465 du mardi 18 nomvembre

Elle pensait pouvoir effacer les traces du drame, mais sa panique ne fait que tout empirer. Dans l’épisode du 18 novembre 2025 de Plus belle la vie, diffusé sur TF1, Barbara se retrouve au cœur d’une spirale infernale. Alors que l’enquête sur la mort de Benoît Chabrol prend un tournant décisif, elle découvre une preuve accablante dans sa propre voiture… et fait un geste irréversible.

Pendant ce temps, à Marseille, d’autres vérités éclatent au grand jour, entre secrets de famille, faux témoignages et soupçons qui changent de cible. Le feuilleton bascule dans un épisode étouffant, où les masques tombent.

Barbara découvre sa Clio saccagée : le cauchemar commence

Tout débute lorsqu’elle demande à Jennifer si elle a récemment utilisé sa voiture. Jennifer reconnaît l’avoir empruntée pour visiter un appartement, mais elle ne retrouve plus les clés. Barbara, méfiante, prend son double et se rend seule au parking. Ce qu’elle voit la glace : le pare-chocs est cabossé, le pare-brise brisé, et une trace de sang confirme l’impensable. Ce véhicule pourrait être celui qui a renversé Chabrol.

Le piège se referme. Charlotte identifie une Clio comme véhicule du drame. Boher, en consultant les fichiers des cartes grises, tombe sur le nom de Barbara. Il confie à Ariane : “j’avais raison”. Acculée, Barbara prend une décision radicale. Elle conduit la Clio jusqu’à une calanque, l’arrose d’essence, y met le feu et regarde les flammes consumer ce qui pourrait l’accuser.

L’enquête se recentre, les soupçons changent de cible

Du côté des forces de l’ordre, Luna et Robbie sont peu à peu mis hors de cause. Lisa Saramon, qui prétendait avoir été accompagnée par Luna, ment sciemment pour couvrir son amie. Boher garde des doutes, mais Ariane tranche : “Il faut qu’on se concentre sur la piste d’un détenu qui aurait voulu se venger”.

Les révélations sur Benoît Chabrol ne cessent de s’accumuler. Selon Boher : “Depuis qu’il est mort, les gars commencent à parler”. Il semble que l’ancien détenu payait ses codétenus pour obtenir des privilèges. Ces nouvelles pistes orientent l’enquête vers des magouilles bien plus vastes… mais Barbara reste désormais dans le collimateur.

Louis, de son côté, ne cache pas son inquiétude. Conscient que la situation devient intenable, il propose à Barbara de tout quitter : “On partira quand tu seras prête”.

Apolline face à ses blessures d’enfance

Loin de ces tourments, Apolline vit une crise plus intime mais tout aussi poignante. En refusant de goûter les madeleines de Nisma, elle se confie sur un souvenir douloureux : “Je me mettais à côté d’elle dans la cuisine, et mon plaisir était de la regarder”. Ce geste anodin réveille un traumatisme : celui de sa mère, qu’elle dit ne jamais avoir été aimée.

Au cabinet du Mistral, elle tranche face à Léa : “Je vais être cash, vous êtes trop intrusive et ça ne me convient pas du tout”. Avant d’ajouter : “Ma mère ne m’a jamais aimée, alors consulter ou pas, je ne vois pas ce que ça peut changer”.

En parallèle, Léa vit un moment suspendu avec sa mère, Babeth, alors que cette dernière l’aide à recoudre sa robe avec du fil chirurgical. Émue, Léa murmure : “Je m’occupe d’une patiente qui a eu une enfance difficile, et ça me fait prendre conscience que j’avais de la chance de t’avoir”.