[PBLV 450] Mathis a tout vu… Bahram et Léa en alerte : Un tueur invisible hante Marseille |Résumé

Un vent de panique souffle sur Marseille dans l’épisode 450 de Plus belle la vie, encore plus belle — un chapitre à la fois mystique, angoissant et profondément humain. Ce n’est plus simplement une histoire de quartier, d’amour ou de rivalités : c’est une plongée dans l’inconnu, là où la science se heurte à l’inexplicable et où la peur devient presque palpable. Dans ce nouvel épisode, la raison vacille, la foi s’effrite et un enfant devient le témoin d’un mal qu’aucun adulte n’ose nommer.

Tout commence à l’hôpital de Marseille. Laura Tangi, victime d’une crise violente, gît désormais dans le coma, suspendue entre vie et mort. Ses machines respiratoires rythment le silence de la chambre comme une prière mécanique. Autour d’elle, le docteur Baram lutte contre son impuissance. Les analyses sont normales, aucune infection détectée, aucun virus connu. Et pourtant, son corps se dégrade inexorablement. Plus troublant encore, sa sœur Morgane présente exactement les mêmes symptômes. Deux jeunes femmes, un même mal invisible… et aucune explication logique.

C’est alors que Léa Nebout, médecin au regard perçant et à la sensibilité hors du commun, entre en scène. En consultant les dossiers médicaux, elle lâche une phrase glaçante :

« Parfois, ce n’est pas le corps qu’il faut interroger… mais ce qui le dépasse. »

Des mots qui résonnent comme une prophétie. Car à cet instant précis, tout change. L’hôpital devient le théâtre d’un mystère qui dépasse la médecine. Une force semble rôder — silencieuse, insaisissable, presque surnaturelle.

Pendant ce temps, au commissariat, les inspecteurs Idriss et Boher reprennent l’enquête sur l’agression de Laura. Un détail troublant refait surface : l’ADN retrouvé sur un bandana rouge correspond à Rico, un fugitif recherché pour meurtre depuis 2024. Un homme manipulateur, invisible, capable de s’infiltrer partout sans laisser de trace. Patrick, en écoutant le rapport, comprend que ce monstre joue avec eux. Il sème la peur, contrôle les esprits, et semble toujours avoir un coup d’avance.
La traque s’engage, haletante, dans les zones abandonnées de Marseille… mais Rico n’est jamais là où on l’attend.

Et soudain, la peur change de visage.

À la résidence Massalia, l’endroit que tous pensaient sûr, la situation bascule dans l’horreur. Basil et Éric inspectent les lieux, cherchant un allergène ou un produit toxique. Mais alors qu’ils examinent les appartements, Vadim s’effondre brutalement, les lèvres bleues, suivi quelques secondes plus tard par Nisma, inconsciente. En un battement de cœur, le calme laisse place au chaos. Les cris résonnent, la panique s’installe, les habitants se ruent vers les sorties.
Mais il est déjà trop tard. Le confinement est ordonné.
Les portes se verrouillent. Personne ne sort. Personne ne rentre.
Le danger n’est plus dehors. Il est déjà là.

À travers les vitres, on distingue des visages effrayés, des silhouettes piégées dans ce bâtiment devenu prison. Le mal invisible se propage, glissant d’un corps à l’autre, sans logique apparente. Une atmosphère étouffante s’installe, comme si l’air lui-même était contaminé. Les habitants comprennent trop tard : ce qu’ils craignaient est déjà en eux.

Et au cœur de cette tension, un enfant devient le témoin silencieux de l’horreur.
Mathis, assis dans le salon, dessine un diable rouge aux yeux flamboyants, deux silhouettes de femmes reliées par un fil noir. Thomas, intrigué, s’approche et lui demande :

« C’est qui, ce monsieur ? »
Mathis répond d’une voix calme, presque détachée :
« C’est lui… celui qui fait du mal à la dame à l’hôpital. »

Le sang se glace. Car l’enfant semble voir ce que les autres refusent de croire. Une présence, une entité, peut-être ce mal invisible qui ronge Marseille. Un frisson parcourt le spectateur — et un sentiment d’inéluctable s’installe. L’innocence de Mathis devient le miroir d’un cauchemar collectif.

Pendant ce temps, à l’hôpital, Gabriel revient précipitamment de son escapade au Mistral pour prêter main forte à Baram et Léa. Ensemble, ils tentent de trouver une explication : et si tout cela n’était pas une infection, mais une réaction allergique à un élément commun ? Un parfum, une bougie, un produit ? Un espoir fragile renaît, mais la peur continue de grandir. Le diable rouge de Mathis semble sourire dans l’ombre, comme si le mal savait que ses victimes n’avaient encore rien vu.

Dans le reste de Marseille, la vie continue, vacillante. Louis se confie à Baptiste sur son bracelet électronique, tandis qu’Alice Bataille, son avocate, lutte entre raison et sentiments. Et Gabriel promet à Thomas de faire passer leur amour avant tout le reste. Ces moments tendres, presque suspendus, contrastent cruellement avec l’angoisse qui consume la ville.

Et lorsque la nuit tombe sur la résidence Massalia, les sirènes résonnent au loin. Derrière les murs verrouillés, des habitants retiennent leur souffle. Le danger rôde, invisible.
Et au centre de tout, le dessin d’un enfant devient la clé du mystère.

Peut-être qu’à Marseille, ce ne sont plus les tueurs qu’il faut craindre, mais ce qu’ils réveillent dans les ombres.
Une certitude s’impose : le cauchemar ne fait que commencer. 🩸🔥