[DNA Spoiler] Judith en danger : la vérité sur les Colin ! Diane et Esmée sous emprise ? |TF1

L’intrigue s’assombrit encore dans Demain nous appartient. L’épisode du 5 novembre 2025 plonge les téléspectateurs dans une atmosphère pesante, presque étouffante, où la curiosité devient un danger. Au cœur de cette tension : Judith, dont l’instinct redoutable la pousse à s’intéresser de trop près à la mystérieuse famille Collin. Et plus elle avance, plus elle se rend compte qu’elle a peut-être mis le doigt sur l’un des secrets les plus sombres que Sète ait jamais connu.


Une maison pas si ordinaire

Tout commence avec une impression, un malaise à peine perceptible. Les sœurs Collin, Diane et Esmée, sont nouvelles en ville. Discrètes, presque effacées, elles semblent n’avoir ni passé, ni amis, ni existence en ligne. Pas de téléphone, pas de réseaux sociaux, pas de traces scolaires avant cette année. Comme si elles avaient été effacées du monde avant leur arrivée à Sète.

C’est ce silence numérique, cette absence totale d’identité, qui alerte Judith. Ses doutes deviennent vite une obsession. D’abord, elle croit à une simple coïncidence. Mais plus elle cherche, plus tout s’enchaîne : incohérences, comportements étranges, regards fuyants… La vérité commence à se dessiner, et elle fait froid dans le dos.

Leur père, Luc Collin, apparaît comme un homme froid, autoritaire, presque fantomatique. Chaque geste de ses filles semble dicté par la peur. Pas de sortie, pas de garçons, pas de liberté. Une discipline implacable, un contrôle total. Judith en est convaincue : Diane et Esmée vivent sous emprise.


L’instinct de Judith contre le déni de Jordan

Incapable d’ignorer ses soupçons, Judith en parle à Jordan. Mais celui-ci reste d’abord sceptique. Pour lui, Judith voit le mal partout, extrapole, s’emballe. Pourtant, quand elle lui montre le vide numérique autour des sœurs Collin — aucune photo, aucune trace, aucun dossier officiel — il commence à douter.

« Tu te rends compte ? C’est comme si elles avaient été effacées. Rien, Jordan. Pas une image, pas une mention. »

Jordan tente de la raisonner, mais le doute s’installe en lui aussi. Et lorsque Jacques, son ami, souligne qu’aujourd’hui « personne ne vit sans téléphone », les certitudes s’effritent. Peu à peu, il comprend que Judith ne délire pas : quelque chose de grave se trame derrière les murs de la maison Collin.


Le piège du silence

Pendant ce temps, l’épisode nous emmène à l’intérieur du quotidien des sœurs Collin. Une routine rigide, réglée comme une horloge : école, courses, retour direct à la maison. Aucune liberté, aucun imprévu.
Quand Bastien, un camarade de classe bienveillant, propose innocemment à Esmée et Diane de venir jouer au paintball avec le groupe, la scène se charge de tension.

« J’aimerais bien, mais je suis pas sûre que papa accepte… »
Les mots d’Esmée résonnent comme une condamnation. Son envie de vivre, de rire, de respirer s’écrase contre une autorité qu’elle n’ose pas défier.

Le regard de Diane en dit long. Protectrice, elle tente d’étouffer les élans de sa sœur. Une seule erreur, et la colère paternelle s’abat. Un simple retard suffit à déclencher des réprimandes glaciales. Lorsqu’elles montent dans la voiture, leur père ne dit rien — mais son silence vaut toutes les menaces.