Plus belle la vie en avance : résumé de l’épisode 423 du jeudi 18 septembre
Ce nouveau chapitre de Plus belle la vie s’ouvre dans la tension. Louisa revient au lycée Saint Côme pour récupérer quelques affaires, mais Constance l’arrête net, expliquant que l’établissement est fermé. Derrière son sourire crispé, la professeure cache un désarroi inquiétant. Elle propose à Louisa d’entrer tout de même et verrouille les portes derrière elle.
Très vite, la jeune femme comprend que quelque chose ne tourne pas rond. Constance lui rappelle leur complicité, mais quand Louisa évoque l’idée de garder contact, l’enseignante devient nerveuse. Elle estime qu’Idriss n’accepterait pas cette proximité. Louisa tente de la rassurer, allant même jusqu’à envisager de mentir à son frère, mais Constance sort une arme et la retient de force.
Dehors, Boher et Idriss arrivent au lycée, mais toutes les issues sont verrouillées. Au même moment, Perrot est interrogé par les policiers. L’homme finit par lâcher une terrible vérité : Constance a tué Inès. Le piège se referme autour de Louisa, qui se retrouve isolée face à une femme armée et hors de contrôle.
Une manipulation glaçante et des révélations
Constance ne se contente pas d’avoir un otage : elle contacte Idriss et retourne la situation à son avantage. La voix froide, elle exige que Jules, le journaliste, rédige un nouvel article élogieux sur Saint Côme. Si ce n’est pas le cas, elle menace de tirer. Idriss, bouleversé, ignore encore que l’otage dont parle Constance n’est autre que sa propre sœur Louisa.
Parallèlement, Boher et Patrick tentent de recoller les morceaux de l’enquête sur la mort d’Inès. Ils découvrent que Boilleau, qui s’était dénoncé, cherchait en réalité à protéger quelqu’un. Les soupçons convergent vers Constance, désormais désignée comme meurtrière par les aveux de Perrot.
Cette double vérité frappe de plein fouet les enquêteurs : une professeure respectée, figure d’autorité à Saint Côme, est devenue une criminelle prête à tout pour sauver son image.