La lumière du jour ne parvient qu’à travers l’espace étroit qu’il peut atteindre avec son bras, un mince fil d’espoir dans cet isolement oppressant. Il tente d’appeler à l’aide, sa voix résonnant contre les parois humides et froides, mais aucun écho humain ne répond à ses appels désespérés. Chaque minute qui passe semble durer une éternité, et l’angoisse commence à le submerger.

La douleur s’empare rapidement de lui. Ses muscles sont crispés et ses articulations endolories. Il s’allonge sur le sol humide, tentant de trouver un peu de répit, mais le stress et la peur le tiennent en alerte constante. Son téléphone, seul lien avec l’extérieur, indique à peine 4 % de batterie, un rappel cruel que le temps est compté. Dans un ultime effort, il utilise son briquet pour s’éclairer, cherchant à se repérer dans l’obscurité et à boire quelques gorgées d’eau. Chaque mouvement devient un défi, chaque respiration est lourde de tension. L’angoisse monte et il commence à se demander si quelqu’un viendra à son secours à temps pour le sauver.

À l’extérieur, l’enquête avance également à grands pas. Yann et Thierry ont enfin réussi à localiser et à identifier les principaux suspects dans l’affaire Prévost. Le voile de mystère qui entourait l’accident de Pauline commence à se lever, et la vérité apparaît avec une clarté troublante. Il s’avère que Jean Laverne était présent chez les Prévost au moment de l’accident. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>